Création 2010
Spectre
Création
Olivier Dubois
Collaborateur artistique
Cyril Accorsi
Assistante création
Anouk Berenguer
Musique
Carl-Maria Von Weber, François Caffenne
Lumières
Patrick Riou
Scénographie
Olivier Dubois
Costumes
Jean-Michel Lainé, Olivier Dubois
Parfumeur
Michel Roudtniska
Durée du spectacle
30 minutes
Création pour les Ballets de Monte-Carlo
Première le 1er avril 2010, Grimaldi Forum Monaco
En collaboration avec Impulstanz-Vienna et les parfums de Grasse
D’après Le Spectre de la Rose.
« Aborder Le Spectre de la Rose par sa face cachée et dévoiler l’éprouvante traversée de ces transporteurs du Spectre. Comment porter le poids du souvenir, soulever la grâce d’antan et permettre au Spectre/Désir de naître ? Offrir à chacun l’occasion de percevoir son propre spectre et l’emporter ! » Olivier Dubois
Ce Spectre de la Rose a la joliesse d’avoir pour projet une collaboration avec Michel Roudnitska, « nez » des parfums de Grasse. C’est que l’histoire de ce ballet (une jeune fille qui s’endort en fantasmant sur le parfum d’une rose ramenée du bal où elle est allée danser) était trop tentante pour ne pas créer une histoire d’odeurs faites de souvenirs et de désirs!
Pour Olivier Dubois, c’est avec les Ballets de Monte-Carlo une première : celle de travailler avec une compagnie classique. Mais d’où ce Spectre de la Rose peut-il bien venir ? Quel parcours a-t-il dû endurer pour ainsi surgir par cette fenêtre ? Dans cette aventure, il s’agit de découvrir l’éprouvante traversée de ces hommes transporteurs de Spectres… porteurs de Désir… et laisser à chacun la chance de voir apparaître ce Spectre. Cette création est une collaboration jamais vue dans l’histoire du ballet, celle de la danse et du parfum à l’instar des croisements chers aux Ballets Russes.
Ce qu’ils en pensent
« Olivier Dubois prend le contre-pied de ce ballet désuet en mettant en scène huit danseurs qui envahissent le plateau en développant une incroyable énergie. On est physiquement entraîné par la puissance de leurs rythmes. »
François Delétraz – Le Figaro, 3.04.10